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 Rodolphus Lestrange

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Rodolphus Lestrange
Proprio de The Alchemist __Sombre et cruel, comme sa femme
Rodolphus Lestrange


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PENSINE
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MessageSujet: Rodolphus Lestrange   Rodolphus Lestrange EmptySam 29 Aoû - 17:05

Fiche de présentation - ALBUM SOUVENIR
.




    Rodolphus Lestrange Jonath10
    R. LESTRANGE, Poudlard, 13 octobre 1968


    Rodolphus LESTRANGE
    PERSONNAGE PREDEFINI
    As smoke, sweat, adrenaline 'n blood…



Fiche de présentation - I. LIVRE DU SORCIER
.


    - NOM : LESTRANGE
    - PRENOMS : Rodolphus
    - DATE DE NAISSANCE/AGE : 7 mars 1953 – 25 ans
    - ORIGINES : Sang-pur
    - LIEU DE RESIDENCE : Cardiff et Londres : 21 de l'Impasse du Tisseur dans Allée des Embrumes, à Londres et Manoir Lestrange (résidence familiale où habitent encore les parents de Rodolphus et Rabastan dans le Comté de Chester (Cheshire))




Fiche de présentation - II. PENSINE
.


    RP DE PRESENTATION :

    1st Chapter


    Ils entendaient le père hurler, tempêter, tournoyer en long, en large et en travers dans la pièce d'à côté. Chaque fois qu'une de ses tirades furieuses touchait à sa fin, les deux enfants pouvaient percevoir le persiflage venimeux de leur mère. L'homme n'en criait que plus fort. Rodolphus observait d'un air presque éteint les filets de nuages grisâtres qui paressaient au-delà de la fenêtre. Assis sur l'une des deux chaises placées au centre de l'entre-chambre du bureau paternel, ses mains étaient profondément enfoncées dans ses poches. Il dégageait une impression trompeuse d'ennui profond, étant en fait tout à sa répétition de la scène qu'il jouerait prochainement aux deux adultes en conflit derrière la porte. Dès que les voix s'éteignirent et des bruits de pas venant dans leur direction, le deuxième garçon, l'air plus jeune rejoignit sa propre chaise en deux souples foulées, ses jambes encore trop courtes se balançant dans le vide comme s'il n'avait jamais écouté soigneusement au trou de la serrure.
    La porte s'ouvrit sur un sorcier élégant, l'œil et le cheveux sombre, l'air furieux. Derrière lui venait une femme grande et glaciale qui ne réservait présentement sa colère qu'à son époux. Comme dans de nombreuses familles de Sang-Pur, le mariage de Mr et Mrs Lestrange Sr avait été arrangé et nullement le fruit de sentiments profonds. Lui était issu d'une famille à la réputation sulfureuse et on avait cru, bien qu'il fût allé à Serdaigle plutôt qu'à Serpentard, qu'il continuerait dans la même voie. Mais le chef de famille Lestrange était affligé de ce que sa femme considérait comme une tare inexcusable : la peur de la Magie Noire. En fait, n'était-ce son ambition et son orgueil écrasant d'être un représentant des Nobles Familles d'Angleterre, ce Lestrange-là était un sorcier bien sous tous rapports, ayant réussi au mieux sa carrière au sein du Ministère, respectueux des lois et des autres. Moldus compris… Sans être d'un altruisme malvenu, il ne nuisait à personne si on ne lui ouvrait pas d'abord les hostilités.
    Elle, c'était autre chose. Issue d'une famille traditionaliste, elle considérait son mari comme faible. Sa belle-sœur, Oriana Lestrange partageait son avis et à elles-deux, elles avaient entrepris d'enseigner aux deux enfants dès leur plus jeune âge, les rudiments des sombres arcanes de la magie. Il ne s'était agi que de faire enrager le père de famille. De toutes façons ses fils étaient trop jeunes pour se servir de baguette. Mais les deux garçons paraissaient avoir des dispositions car contrairement à des enfants, normaux, ils ne montrèrent jamais la moindre répulsion face à l'évocation de certaines pratiques. Au contraire, ils paraissaient… curieux. Du moins lorsqu'ils étaient dans la demeure familiale, passant la majeure partie de leur temps ensemble dehors ou à l'école municipale où leur père avait exigé qu'il fasse leurs études scolaires primaires. Sans doute comptait-il ainsi leur enseigner la tolérance et les voir se lier d'amitié avec de jeunes Moldus. Cela avait lamentablement échoué semblait-il. Et c'était bien la raison de la dispute et de la convocation de Rodolphus et Rabastan ce jour-là.

    Lestrange Sr- J'attends des explications !

    L'exigence du père était sans appel, alors que ses fils se tenaient bien droit face à lui. D'un côté le plus jeune, l'air renfrogné, et de l'autre, l'aîné, ses yeux clairs seulement animés d'une surprise polie.

    Rodolphus - A quel sujet, père ?
    L. Sr – Ne te moque pas de moi, jeune homme ! Le directeur de l'école a appelé. Le petit Sanders a disparu. J'ai vu également le commissaire de police et je sais qu'ils ont interrogé tous ces camarades, vous deux compris.
    Rd – C'est vrai, père.
    L. Sr – Et ?
    Rd – Et ?
    L. Sr – Assez joué, Rodolphus ! Je sais que vous vous êtes disputés avec lui, toi et Rabastan.
    Rd – Mais c'est lui qui est venu nous chercher, père. Il a dit que nous et notre famille étions des monstres et… qu'il allait nous apprendre.. Il n'a pas dit quoi.

    Le père serra violemment les mâchoires et même la mère ressentit un léger malaise face au ton égal et trop calme de leur fils. Le deuxième n'était pas mieux, on devinait un léger sourire de satisfaction dissimulé à grand peine par son visage baissé vers ses chaussures.

    Rd – Alors c'est vrai, nous nous sommes.. disputés avec lui, et nous lui avons fait un peu peur. On ne pouvait pas le laisser insulter notre famille, n'est-ce pas ?
    L. Sr – Un peu peur ? Cela fait des années que le directeur et vos instituteurs se plaignent. Il semblerait que vous fassiez "un peu peur" à tous les élèves. … Tu as perdu ta langue ?
    Rd – Non. Mais, je crois qu'ils ont peur parce que nous ne sommes pas comme eux. Je n'y peux rien. J'essaye d'aider parfois pourtant.
    L. Sr – Oui… Même le directeur doit admettre que vous vous conduisez bien. Malgré la méfiance des autres enfants. Mais le directeur ne sait pas tout. Vous rappelez-vous l'épisode des jumelles Eddings ?

    Cette fois c'était flagrant, Rabastan ne retenait qu'à grand peine un sourire comme on en a à l'évocation d'un bon souvenir. Même Rodolphus eut du mal à cacher le plaisir que lui rappelait ces quelques mots : les commissures de ses lèvres se crispèrent brièvement mais il se reprit rapidement.

    Rd – Mais nous nous sommes excusés. Et nous ne les avions même pas forcées.
    L. Sr – Ca ne les a pas empêché de se retrouver à l'hôpital. Elles auraient pu mourir si je ne vous avais pas vus sur la falaise avec ces maudits parapluies. Jamais je n'aurais cru que vous seriez assez mauvais pour leur faire croire qu'elles s'envoleraient avec. Maintenant, jeunes hommes, dites-moi où se trouve le jeune Sanders immédiatement ou je vous assure que vous allez le regretter.
    Rd- Je ne sais pas. Je le jure. Il est rentré avec ses copains de leur côté. Et nous sommes rentrés à la maison. Vous pouvez demander à Nosy et Hearingz : ils nous ont vu rentrer à l'heure. Ensuite nous avons goûté, fait nos devoirs et tout… Puis c'était le dîner et ensuite nous sommes allés nous coucher.

    Le père ressentit une boule dans sa gorge qui n'était pas due qu'à la colère. Cette façon d'étaler les faits était pour lui la preuve la plus évidente que ses fils avaient quelque chose à voir avec la disparition du gamin. Mais le pire, c'était qu'en dépit de leur jeune âge ils avaient penser à se trouver un alibi. D'ailleurs comment s'y étaient-ils pris et ce qu'ils avaient fait exactement restaient toujours un mystère. Rien y faisait, aussi horrible que fut la constatation, Lestrange sr était sûr et certains que ses enfants étaient coupables et il eut soudain l'impression immonde d'être le père de deux monstres.

    L. Sr – Tu peux continuer à mentir jeune homme. Je sais que c'est vous. Et vous serez punis jusqu'à que vous finissiez par avouer ce que vous avez fait et que vous regrettiez vos actes.
    Rb – Ce n'est pas juste !

    Le sourire de Rabastan avait disparu pour laisser place à une expression de colère assez effrayante pour un enfant aussi jeune. Sa mère se fit la réflexion qu'elle comprenait que les autres enfants se méfiaient de lui, rien que le flamboiement de ces yeux était inquiétant.

    Mrs Lestrange – Non ce n'est pas juste mon cher. On ne punit pas sur des suppositions. Ne rejetez pas sur vos fils la dure journée que vous venez de passer. Tout cela ne fait que prouver ce que je vous avait dit : les sorciers ne devraient pas se mêler aux Moldus, rien de bon ne peut en ressortir.

    Lestrange Sr vit dans les yeux de sa femme qu'elle soutiendrait ses fils mordicus. Sa journée avait été éprouvante c'était vrai, il ne se sentait plus l'énergie de tenir tête à cette épouse distante.

    L. Sr – Bien ! Très bien ! Laissez-leur donc croire que tout leur ait permis ! Je finirai bien par savoir le fin mot de l'histoire. Mais en attendant je ne veux plus voir ma sœur chez nous. Son influence sur eux est néfaste, je suis certain qu'elle n'est pas pour rien dans leurs mauvaises relations avec leurs camarades.

    Il s'apprêta alors à quitter la pièce mais ressentit soudainement un abattement le prendre tout entier. Dans les trois paires d'yeux qui le fixaient il lisait le même mot qui lui était adressé : faible ! Sa femme l'exprimait avec mépris, Rodolphus avec dédain et satisfaction, Rabastan avec dégoût et rancune. Cette hostilité familiale le pousserait à boire plus que de raison le soir-même. Le début d'une longue suite de bouteilles…
    Ce fut sûrement cette reddition qui l'empêcha de s'étonner que sa femme ne se battit pas plus pour exiger qu'Oriana ne fut pas bannie de leur demeure. En fait, l'expression et l'attitude de ses fils avaient réussi à déranger suffisamment leur mère pour qu'elle finisse par se demander si elle et sa belle-sœur n'avaient pas été trop loin. Cela n'avait eu pour but que d'agacer son époux, d'instruire ses fils. Certes elle avait été une fervente partisane de Grindelwald. Mais une partisane d'opinions, de mots et de pensées. Elle tenait trop à son statut pour le risquer en agissant. Elle commençait d'avoir peur que ses enfants n'aillent trop loin s'ils continuaient d'écouter leur tante. Pas qu'elle trouva ces actes horribles, elle craignait simplement qu'ils finissent par se faire prendre. Cependant elle aimait trop ses fils pour être capable de se trouver du côté de qui que ce soit qui leur serait hostile. Malgré qu'elle continuerait dans les années suivantes à les élever durement, elle les admirait déjà pour agir comme elle ne l'avait jamais osé et ne l'oserait jamais.


Dernière édition par Rodolphus Lestrange le Sam 29 Aoû - 22:54, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Rodolphus Lestrange   Rodolphus Lestrange EmptySam 29 Aoû - 17:06

  • 2nd Chapter


    Le temps avait passé depuis la disparition du jeune Sanders. Mais Martelan Lestrange n’avait pas oublié ce jour où il avait compris quel genre d’hommes deviendraient ses fils. L’aîné par ailleurs cachait admirablement bien son jeu. Peu était au courrant de la cruauté sans limite dont il pouvait faire preuve. Et s’il lui avait pris l’envie d’en parler à qui que ce soit, Lestrange Sr n’ignorait pas que cela faisait trop longtemps qu’il passait pour un alcoolique notoire pour que quelqu’un le crût réellement. De toute façon il n’avait aucune envie d’en parler à qui que ce soit. D’abord parce qu’ils restaient ses fils. Ensuite à cause de la honte insurmontable qui ressortirait s’il révélait au grand jour quels monstres il avait engendrer. Non, plutôt mourir.

    Sous ses yeux s’étalait une page de journal dont la photo principale représentait deux jeunes mariés. Les épousailles des Nobles et Pures Familles du monde sorcier, arrangés ou pas, attiraient toujours une foule de journalistes. Surtout lorsque les fiancés étaient riches. Et plus encore lorsqu’ils avaient une réputation sulfureuse. La jeune femme était une représentante de la fameuse famille des Black et elle n’avait pas encore quitté Poudlard qu’on parlait déjà beaucoup d’elle. Les raisons ne manquaient pas. D’abord elle était belle, d’une beauté dérangeante mais au charme dangereux indubitable. Sur la photo elle dardait des regards hautains de sous ses paupières paresseuses. Et elle n’en paraissait étrangement que plus désirable. Mais il n’y avait pas que cela. On ne comptait plus les élèves qui l’avaient crainte lorsqu’elle étudiait encore. On la disait sadique, et par conséquent on la disait folle. Or gare à celui qui s’aventurerait à prononcer pareilles paroles en sa présence redoutable car elle, elle ne semblait avoir peur de rien ni personne. On aurait presque pu en plaindre le jeune mari, et certains et certaines ne se privaient pas de le faire.

    C’est qu’ils connaissaient mal le mari en question, songea Lestrange Sr en vidant son verre avant de s’en verser un nouveau. La réputation de Rodolphus n’était pas mal elle-même déjà, mais ne recelait pas (encore ?) cette aura effrayante qui entourait sa femme. Trop hypocrite pour cela, trop subtil encore dans ses paroles. On le connaissait surtout pour ses voyages et ses frasques d’aristocrate débauché. Débauche aux trois quarts cachée derrière son attitude calme et posée, son visage lisse et son regard réfléchi, comme pour mieux en jouer. Il n’y avait jamais réellement de preuve. Après ses études brillantes à Poudlard, on aurait pu attendre du jeune homme qu’il s’obtint une bonne place au Ministère et commence à faire carrière. Au lieu de cela il avait profité de sa nouvelle liberté pour courir le monde. Au point même que certains diplomates anglais, représentants du Département de la Coopération Magique Internationale, lui aient parfois demandé son aide pour régler quelques épineuses affaires locales, particulièrement lorsqu’il s’agissait de problèmes d’éthique concernant des pratiques étrangères qui auraient pu ressortir de la magie noire. Il ne fallait pas froisser les ego des habitants mais… C’est qu’il était difficile de lui en remontrer dans l’art de la manipulation. Son diable de fils savait se faire apprécier lorsqu’il le désirait. Malheureusement. Et puis il était soudainement revenu en Angleterre. Et pour quoi ? Tenir un pub à cheval sur le Chemin de Traverse et l’Allée des Embrumes. Quel joli symbole de son ambiguïté. Les yeux de Lestrange Sr ne quittait plus le visage de son rejeton devenu adulte. Ses lèvres arborait un fin sourire, faussement complice avec celui qui le regarderait. Mais il y avait ce regard glacé que tout le monde semblait oublier ou qui au contraire pouvait fasciner les esprits influençables. Mal leur en prenait. On se focalisait tellement sur les frasques supposés du jeune homme, qu’il semblait tout faire pour cacher élégamment, qu’on paraissait négliger le fait que tout cela était sans doute la meilleure couverture qui soit pour dissimuler d’autres secrets nettement plus sombres. Non, personne ne le croirait. Le verre fut vidé une nouvelle fois. Rempli derechef.

    Pourquoi être revenu de cette manière en Angleterre ? Lestrange Sr n’aurait pu nier l’avoir regretter car cela avait reformer définitivement le tandem Rodolphus Rabastan. Certes les deux jeunes hommes s’étaient encore vus régulièrement en dépit des aléas de leurs vies respectives : le lien qui unissait les deux frères était trop fort pour se briser. Et avec qui d’autres auraient-ils pu commettre leurs plus mauvais coups ? se demanda amèrement leur père. Ils avaient toujours été le meilleur complice de l’autre, le partenaire parfait, l’avers et le revers d’une médaille malsaine. Mais depuis ce retour… Il les savait dangereux seul. Mais ce n’était rien comparé à ce qu’ils représentaient associés. Martelan n’oubliait pas les rumeurs concernant ce mage noir, cela faisait quelques temps déjà qu’il avait fait le rapprochement avec l’installation définitive de Rodolphus à Londres. Pourquoi un pub ? Il ne comprenait pas, mais si son aîné l’avait fait, il avait sûrement une très bonne ou plutôt une très mauvaise raison.
    Il soupira. Sa tête commençait de lui tourner. Non personne ne le croirait. Et surtout pas tous ceux qui l’avaient félicité pour ce merveilleux mariage. Comme s’il n’avait pas été arrangé de main de maître par sa femme et la famille Black ! Comme si Rodolphus était un jeune homme exemplaire. Pas tout à fait le gendre parfait, ses mœurs étaient un peu trop dissolues, mais après tout il était jeune. D’ailleurs il l’avait bien lu dans leurs yeux : ce qu’ils pensaient, c’est que c’était sa faute, à lui, le père alcoolique, si les fils ne se comportaient pas toujours comme de jeunes gentlemen biens sous tous rapports, équilibrés et sans le moindre vice. Et quel beau couple ils formaient Bellatrix et lui ! Non personne ne le croirait, et même si c’était le cas… Même si c’était le cas… Il avait peur… Il en était sûr. Si à un seul instant il comptait se confesser à quelqu’un, révéler tout ce qu’il savait, Rabastan ou Rodolphus le saurait, ou leur mère le leur dirait.. Son cœur battit plus vite sous la pression de la paranoïa.
    Lestrange Sr décida qu’il allait encore boire. Boire jusqu’à s’endormir sur la table, la tête dans ce maudit journal.


Fiche de présentation - III. LEGILIMENS
.


    - COMPOSITION DE LA BAGUETTE : Bois de châtaignier, venin séché d'Acromantule, 37 cm
    - CAMP : Marqué
    - METIER : Gérant et propriétaire de "The Alchemist's"
    - DON PARTICULIER :
    L'occlumencie lui fut enseignée fort jeune par sa tante Oriana Lestrange et d'une façon qui ne fut pas des plus agréables puisqu'elle utilisait l'humiliation comme motivation pour forcer le garçon a fermé son esprit au mieux. Néanmoins Rodolphus avait déjà de fortes prédispositions à la dissimulation étant un être calculateur d'aussi loin que remonte les souvenirs de ceux qui le connurent enfant. Ce qui expliqua qu'au contraire de Rabastan, il acquit relativement rapidement cette faculté et même aux dépens de sa tante au final puisque ne se contentant plus de cacher ses pensées il en vint à montrer celles qui lui plaisaient à l'envie. Mais il ne s'est jamais permis de rien dissimuler au Lord.. probablement parce qu'il n'a rien à lui cacher, lui étant tout acquis.
    En revanche, son frère lui est supérieur en légilimencie, apprise de la même manière que l'occlumencie. Ils firent leurs premiers essais sur des jeunes Moldus des villages alentours sur lesquelles la fameuse Oriana lançait ensuite un sortilège d'Oubliette. Là encore mal lui en pris puisque par revanche des humiliations comme de sa tendance à vouloir les utiliser selon ses désirs, ses deux neveux finirent par exercer sur elle ces talents, profitant du fait qu'ils sont deux pour déstabiliser plus encore leur victime.
    Ajouté à leurs talents innés pour infliger la douleur, qu'il s'agisse du Doloris, d'autres sorts ou d'autres armes, on n'imagine la difficulté leur cacher le moindre secret si l'on tombe malheureusement en leur pouvoir. Lui comme son frère semble être né pour pratiquer la magie noire et jouer les cauchemars.
    - POSSESSIONS PARTICULIERES NOTOIRES : un elfe de maison, Curse, un hibou, Northern, un balai de voyage. Et un coffre chez Gringotts particulièrement bien rempli.
    - EPOUVANTARD :
    Au fil des années, l'épouvantard de Rodolphus a beaucoup évolué. D'une part puisqu'il chercha toujours à mater ses propres peurs, d'autre part parce qu'il gagnait en maturité. Ainsi durant l'enfance et ses premières années à Poudlard, son épouvantard prenait l'apparence de son frère dans un fauteuil roulant et sans le moindre pouvoir magique. Difficile de lancer un Riddikkulus dans un cas pareil. Heureusement cela évolua pour devenir plus général en une série de symbole de la fin du monde magique sous le poids des Moldus, ce qui se traduisit finalement par un énorme obèse brisant un tas de baguettes sous son poids sur lesquelles il se trouve assis. L'homme porte des lunettes, probablement symbole de la médiocre médecine moldue dans l'esprit Lestrangien. Il arbore également une impressionnante masse de vêtements du veston à la robe de chambre, se débarrassant régulièrement d'une couche pour en laisser apparaître une autre. Mais d'une manière générale les couleurs de ces vêtements sont gris sale ou rose et exhibent souvent des messages allant d'un simple "peace" à des expressions beaucoup plus mièvres. L'ensemble ressemble tout de même à une sorte d'énorme monstre spongieux vaguement humain, obscène, grotesque et dégoûtant, se nourrissant de baguettes en plus de les écraser. S'empiffrer serait plus exact. Mais ça ne serait pas un véritable épouvantard s'il ne tentait pas de s'emparer des baguettes des sorciers présents autour de lui en émettant des gargarismes et exigeant qu'on lui donne de quoi manger, encore, encore. Le professeur contre les forces du mal ne lui demanda qu'une fois de pratiquer l'exercice en présence de ses camarades.
    - PATRONUS : /
    - NOTES DE VOS BUSES :


    • Défense contre les forces du mal : P
    • Potions : A
    • Métamorphose : A
    • Sortilèges et Enchantements : O
    • Histoire de la Magie : A
    • Astronomie : P
    • Botanique : E


    • Etude de Runes : E
    • Etudes des Moldus : P

    - NOTES DE VOS ASPICS :


    • Défense contre les forces du mal : A
    • Potions : E
    • Métamorphose : O
    • Sortilèges et Enchantements : O
    • Botanique : E

    • Etude de Runes : E
    • Etudes des Moldus : A


Fiche de présentation - IV. VOUS
.


    - PRENOM/PSEUDO : Kawa
    - AGE : 22 ans
    - NIVEAU DE RP : bin, c'est dur de juger, mais comme j'étais déjà là avant, je suppose que ça allait
    - FREQUENCE DE CONNEXION MAXIMALE/MINIMALE : de 7/7 à 1/7 (mais le 1 uniquement pour les périodes d'examens, autrement ça varie plutôt entre 7 et 4).
    - CELEBRITE SUR L'AVATAR : Jonathan Rhys Meyer
    - AS-TU LU LE REGLEMENT ? : "Sed Perseverare Diabolicum"



Dernière édition par Rodolphus Lestrange le Sam 29 Aoû - 22:47, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Rodolphus Lestrange   Rodolphus Lestrange EmptySam 29 Aoû - 22:45

Voilà cette fois je crois que j'ai terminé, j'espère que ça ira Smile
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Regulus A. Black
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MessageSujet: Re: Rodolphus Lestrange   Rodolphus Lestrange EmptyDim 30 Aoû - 15:40

    Fiche validée, bien entendu ! =)
    Merci à toi d'être revenu sur le forum Wink

    Bon jeu !
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MessageSujet: Re: Rodolphus Lestrange   Rodolphus Lestrange EmptyDim 30 Aoû - 15:44

Merci !
Il me manquait ce forum Smile , du coup j'essaie de voter régulièrement sur les TOP pour rameuter du monde, j'espère que ça marchera..
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